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Le matériel ferroviaire Renault - Renault en spoorwegen

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En plus du transport de voyageurs en autobus, Renault a aussi contribué de façon importante au transport des voyageurs par chemin de fer. Déjà en 1913 Renault applique la technologie employée dans le domaine de l’automobile aux chemins de fer.

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Par manque de voyageurs, les petites lignes de chemin de fer, à la fin de la seconde guerre mondiale, ne sont pas rentables. Renault propose alors une solution : remplacer les grands trains par des autorails.Le type KA est le premier autorail construit par Renault. Équipé d’un moteur de 30 CV, construit sur le châssis d’un camion, il est mis en service en 1922. Il peut transporter 20 passagers et 1 conducteur. Solide, confortable et rapide, le nouveau moyen de transport obtient un succès éclatant. Par la suite, le constructeur développera un moteur diesel 12-cylindres d’une puissance de 250 CV. Au début des années 30, l’autorail avec double cabine, desservant la ligne Paris-Lisieux-Trouville, est équipé d’un nouveau moteur. A cette époque déjà, on pouvait parcourir 900 km par jour. Sur le trajet Paris-Strasbourg, l’autorail bat le record de vitesse sur rail, en atteignant une vitesse moyenne de 138 km/h et une vitesse de pointe à 164 km/h. L’autorail était mu par un moteur Renault 16-cylindres d’une puissance de 500 CV. Ces autorails sont plus rapides que les trains traditionnels de cette époque. Dans les années 50, Renault lance l’étude d’un autorail à toit panoramique pour lequel on utilisera des matériaux synthétiques pour la première fois. Le but est d’alléger le véhicule, d’optimaliser l’insonorisation et d’améliorer les performances. En 1958, les premiers exemplaires entrent en service. Le dernier de ces autorails sera produit en 1963. Pendant 60 années, 1100 autorails Renault ont parcouru le réseau ferroviaire ; parmi lesquels certains ont parcouru plus de 3 Millions de kilomètres.

Pêle-Mêle 

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